samedi 28 juillet 2012

BRUBAKER (BRUBAKER) de Stuart ROSENBERG


BRUBAKER
BRUBAKER
One man against a cruel system
Un homme accuse


Fiche Technique

REALISE PAR : Stuart Rosenberg
ECRIT PAR : W. D. Richter
MUSIQUE DE : Lalo Schifrin
PRODUIT PAR : Ron Silverman
PRODUCTION : 20th Century Fox
DISTRIBUE PAR : 20th Century Fox aux USA et en France
ORIGINE : USA
DUREE : 2h12min
PUBLIC : Pour Tout Public
SORTIE : 20 Juin 1980 aux USA – 14 Janvier 1981 en France
BUDGET : Pas d’Infos
REVENUS : Pas d’Infos
LIEUX DE TOURNAGE : Ohio aux USA
GENRE : Drame
DISPONIBILITE : DVD Zone 2
SUITES : Non

ROBERT REDFORD : Henry Brubaker
YAPHET KOTTO : Richard Coombes
DAVID KEITH : Larry Lee Bullen
JANE ALEXANDER : Lilian Grey
MURRAY HAMILTON : John Deach
TIM MCINTIRE : Huey Rauch
MORGAN FREEMAN : Walter
MATT CLARK : Roy Purcell
M. EMMET WALSH : C.P. Woodward
RICHARD WARD : Abraham Cook

Synopsis

            Henry Brubaker (ROBERT REDFORD), après s’être infiltré dans la prison dont il est le nouveau gardien, décide de réaliser des changements drastiques dans le fonctionnement de la prison. Bien évidemment, ces changements sont très mal vus par le gouverneur, qui cherche à lui mettre des bâtons dans les roues.

Critique

            L’Amérique a un problème avec son histoire et sa société et il est devenu monnaie courante de la critiquer à travers le cinéma, tout en apportant des discussions à vertu sociologiques plus ou moins habiles.
            Brubaker parle du système carcéral américain et des conditions inhumaines de la vie des prisonniers. Notre héros éponyme, parfait en tout point (on aurait aimé un peu plus de nuance), est interprété par un Robert Redford en pleine période de gloire. Il est fabuleux et donne corps à un personnage donc un peu fade et lui permet d’exister autour des Yaphet Kotto, David Keith et autres Richard Ward, véritables bouffeurs d’écran qui illuminent leurs scènes. Cependant, le scénario prend bien trop son temps et n’est jamais réellement passionnant. De plus, Stuart Rosenberg ne donne jamais un souffle épique à son film et réalise sans grand génie (voire pire) ce qui aurait du être une fresque larmoyante et mémorable.
            Brubaker est donc un film très sympathique, mais qui manque d’une réelle direction et d’un scénario solide. Dommage, car l’interprétation était géniale.
Ma Note : 13/20

Si Vous Avez Aimé, Vous Aimerez : LES EVADES de Frank DARABONT, chef d’œuvre avec Morgan FREEMAN, qui faisait ses débuts dans ce film.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire